JP tu me fais pas rire là !
Tu es parti, je t’imagine là haut en train de chanter « libéré, délivré », avec ta moustache frétillante.
Je garde de toi cette belle image de cet été où tu es venu « incognito » sur la terrasse, tu étais heureux de cette soirée au milieu des tiens, les blagues et les fous rires fusaient, c’était un de ces moments que je grave dans ma mémoire profonde, j’irai puiser dans cette case « en cas de spleen » ; merci à toi de me l’avoir offert.